Une aberration du NFP :
"Lutter contre toutes les formes de racisme, contre l’antisémitisme et l’islamophobie".


La phobie est une sorte de peur plutôt maladive et il n'est pas juste de la mettre sur le même plan que le racisme. 
Ce d'autant que cette dénonciation de l'islamophobie met en cause la liberté. On a, a strictement parler, droit d'être "islamophobe" ou "cathophobe" et cela "se soigne" d'une certaine façon en cultivant strictement l'anticléricalisme.... 
On a, en effet, surtout LE DROIT ET LE DEVOIR D'ÊTRE ANTICLÉRICAUX tout en respectant les religions, et c'est la meilleure façon de la faire, si on prétend être républicain et démocrate. 
En attaquant l'islamophobie, sous prétexte de combattre le racisme anti-arabe, beaucoup attaquent en fait l'anticléricalisme et protègent le cléricalisme des intégristes islamistes. 
On a vu à Grenoble un maire se mouiller à soutenir le burkini, à Strasbourg des candidates EELV, organisation qui se veut féministe, voilées sur les affiches électorales. Le NPA est zélé pour dire la messe cléricalo-islamo-gauchiste.
Relier cette aberration programmatique aux positions de LFI multipliant les déclarations soutenant de fait le cléricalisme voire des organisations islamistes et même terroristes est grave car c'est la laïcité qui est encore attaquée. SOYONS DES ESPRITS LIBRES.
Wikipédia et autres sources nous aident :
"Contrairement au sentiment de peur, qui nous entraîne à gérer la situation et souvent à la surmonter, la phobie provoque un comportement d'évitement. Les personnes souffrant d'une phobie ne tenteront pas d'affronter l'objet de leur peur, mais feront plutôt tout ce qui est en leur pouvoir pour l'éviter.
Une phobie (du grec ancien φόβος / phóbos, frayeur, crainte ou répulsion) est une peur démesurée et dépendant d'un ressenti plutôt que de causes rationnelles, d'un objet ou d'une situation précise. L’objet ou la situation qui déclenche la phobie est nommé « phobogène ».
Selon le psychiatre et psychanalyste Paul Denis, « la phobie, peur irraisonnée, irrationnelle, déclenchée par une circonstance sans danger, est sans doute le symptôme psychopathologique le plus répandu » ; c'est ce caractère de danger irréel qui distingue cliniquement la phobie de la peur.
Dans la Classification internationale des maladies actuelle, les phobies font partie de la catégorie plus générale des troubles anxieux. Les formes que peut revêtir l'affection phobique sont multiples: il peut s'agir par exemple de l'agoraphobie (peur de la foule et des lieux publics), de phobies spécifiques telles que la claustrophobie (peur des lieux clos), ou de phobie sociale, qui est une crainte handicapante de relations sociales comme la prise de parole en public, la rencontre de nouvelles personnes ou de l'opinion ou jugement des autres.
"
Cette affaire fait penser à ceux qui assimilent abusivement antisionisme et antisémitisme.

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